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C’est dans une maisonnette
(Tsham-khang) comme celle-ci, perchée en haut d’un rocher
qu’Alexandra David Neel est restée plusieurs mois à
méditer et à vivre comme un ermite. Elle s’en félicite
et écrit : « […] Je sens que la vie d’ermite
délivrée de tout ce que l’on appelle les biens et
les plaisirs de ce monde est la plus merveilleuse qui soit. » En retrait des monastères, ces endroits n’en sont pas moins inondés de symboles religieux comme on peut le constater ici encore avec la pierre mani et les drapeaux à prières. |